Je m’appelle Pauline,
J’ai découvert mon endométriose en 2016 après 10 ans d’errance grâce à un article dans le journal. J’avais presque tous les symptômes décrits. Mon gynécologue m’a écoutée et tout de suite prise au sérieux. Alors qu’une chirurgie est envisagée, je découvre que je suis enfin enceinte. J’ai vécu une parenthèse enchantée avec l’arrivée de ma petite fille. Puis, les douleurs sont revenues crescendo. Après un passage aux urgences, je décide finalement de reprendre la pilule. L’endométriose est toujours là mais j’ai la chance de pouvoir continuer à vivre, travailler malgré tout et être maman. Ce n’est pas le cas de toutes les endogirls. Certaines ont vu leur vie basculer en un claquement de doigt, arrêt de travail, traitements lourds et épuisants, opérations chirurgicales…