Endoyellow, c’est le premier endomagazine à scroller depuis ton lit pour améliorer ton quotidien !
Quand l’endométriose t’empêche de sortir de ton lit, que ce soit pour une heure, un jour, un mois ou plus… tu trouveras sur ce site des ressources pour rester active et te changer les idées quand tu es alitée avec ta bouillotte préférée ! L’endométriose touche 1 femme sur 10. Certaines un peu, certaines beaucoup. Au point de les empêcher de vivre leur vie. Les traitements proposés aujourd’hui ne permettent pas de faire disparaître complètement cette maladie invisible.
Alors, que faire ? Peut-on dépasser l’endométriose ?
Peut-on apprendre à gérer la maladie et reprendre le pouvoir sur sa vie ?
C’est notre pari !
Je m’appelle Pauline,
J’ai découvert mon endométriose en 2016 après 10 ans d’errance grâce à un article dans le journal. J’avais presque tous les symptômes décrits. Mon gynécologue m’a écoutée et tout de suite prise au sérieux. Alors qu’une chirurgie est envisagée, je découvre que je suis enfin enceinte. J’ai vécu une parenthèse enchantée avec l’arrivée de ma petite fille. Puis, les douleurs sont revenues crescendo. Après un passage aux urgences, je décide finalement de reprendre la pilule. L’endométriose est toujours là mais j’ai la chance de pouvoir continuer à vivre, travailler malgré tout et être maman. Ce n’est pas le cas de toutes les endogirls. Certaines ont vu leur vie basculer en un claquement de doigt, arrêt de travail, traitements lourds et épuisants, opérations chirurgicales…
Je m’appelle Claire,
Mon endométriose a été diagnostiquée début 2018. Après avoir enfin frappé à la bonne porte, les longues années d’errance médicale étaient derrière moi. J’ai été opérée à peine un an après. Après quelques mois de répit, la récidive de la maladie a été incroyablement rapide et violente. Je me retrouve actuellement sans l’usage de ma vessie, avec des douleurs quotidiennes très invalidantes, des kystes et lésions de taille impressionnante, un parcours de fiv et sans pouvoir travailler. Ces épreuves m’ont endurcie et j’ai appris tout un tas d’astuces pour m’aider au quotidien. C’est ce que je veux partager avec avec toi. L’endo ne nous définit pas et ne doit pas prendre trop de place. Nous pouvons aller de l’avant, réaliser nos projets malgré tout, et positiver chaque jour !
C’est pour toi, pour nous, pour les 180 millions de femmes “endométriosées” dans le monde que nous devons apprendre à embellir notre vie d’endogirl… et ça commence maintenant !
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